Une tarte dans la gueule | Polar Urbain


Un premier roman noir aux dialogues enlevés dans un Belleville haut en couleur.

Un Polar Urbain en Résumé

Olive, serveur, se prend une tarte dans la gueule et y voit un signe du destin. Forcément, son destin va s’en ressentir.

Il décide de prendre sa liberté et de monter son bar restaurant avec ses potes, même si sa femme, plus lucide, est moins enthousiaste. Mais Olive s’entête. Comptable alcoolique, banquier incompétent, notaire véreux ou usurier exigeant, quelles que soient ses rencontres, il avance.

Lorsque le destin vous ouvre les yeux à coup de tarte dans la gueule, vaut mieux y aller à petits pas mais Olive court, Olive fonce. Il fonce droit dans le soleil ou droit dans le mur…

Un polar urbain, qui oscille entre rires et larmes. Dans un Paris particulier, un premier roman parfois très drôle, souvent très noir, avec des personnages surprenants, amusants ou désespérants.

Avis des lecteurs

Un excellent premier roman, à la croisée du polar et de l’anti-livre de développement personnel. Le héros qui souhaite changer de vie, possède la motivation mais pas la discipline et le bon sens indispensables à l’ouverture d’un bistrot parisien. Le rêve deviendra vite un enfer. Amitiés ruineuses, loufiats peu recommandables, excès en tout genre, l’aventure entrepreneuriale cuisinée dans une sauce à la gouaille façon “tontons flingueurs”. C’est cynique, souvent drôle, je le recommande.

Le Guilcher pour la gouaille et le “Série Noire” de Corneau pour la descente. Avec du David Goodis pour l’ambiance, mais en plus rigolo.

On se laisse embarquer très facilement dans cette histoire à la fois noir et très drôle. De rade en troquet et de tarte en poing à travers la gueule on suit le parcours d’Olive, un loser flamboyant auquel on ne veut que du bien… Mais les évènements ne sont pas toujours du même avis…

Ce livre m’a donné envie de revoir Les tontons flingueurs.

Commander la version papier – 10 €

Commander l’ebook – 2 €

A propos de l’auteur

Serial écrivain, Valéry Bonneau n’arrête jamais de maltraiter ses personnages dans ses romans : le serveur d’une Tarte dans la gueule, son premier polar urbain aux dialogues enlevés dans un Belleville haut en couleur, les anti héros de sa série de Nouvelles noires pour se rire du désespoir ou le quidam de Mon collègue est un robot à qui il promet le chômage éternel. Il revient avec ce thriller noir.