Retour de la série d’interviews “Automne” après une petite interruption pour cause de blessure. A la main droite, pour un écrivain c’est gênant. Pour un droitier tout court d’ailleurs. Mais peu importe, après Thierry Crouzet et Neil Jomunsi, voici Kylie Ravera que je suis très content d’accueillir.
Oui. C’est moi. Enfin, un bout de moi. Qui contribue à ce que l’ensemble tienne à peu près debout.
Une saga scientifico-humoristico policière en 7+1+1 tomes née entre les bancs d’une prépa scientifique dans un lycée parisien et la forêt de Brno en République Tchèque, autoéditée depuis 2007 et chatouillant aujourd’hui les 2500 exemplaires vendus.
Après, ça devait être en décembre 2016, mais finalement, ce sera plutôt en décembre 2017. Un recueil de 13 nouvelles, pour la plupart inédites, illustrées par Guillaume Sanrankune et publiées au format papier exclusivement.
Mon vide-grenier, et puis évidemment le tome 1 de la tentation de la pseudo-réciproque puisqu’il est disponible en téléchargement gratuit.
Je n’ai pas prévu de disparaître et je compte bien continuer à m’avaler une trentaine de romans par an. Et autour de moi, je constate plutôt la prolifération de la chose écrite, tout comme des consommateurs de ces fictions. Après, peut-être n’avons-nous pas la même définition du roman, avec M. Roth ?
Ce n’est pas mon choix. Peut-être parce que je serais bien dans la mouise si ça l’avait été. Chacun est libre de se fixer des objectifs et de se donner les moyens de les atteindre, en l’occurrence, je trouve que la part de chance pour y arriver est bien trop importante pour fonder un projet de vie là-dessus. Tant mieux pour ceux qui y parviennent !
Ça va pas, non ? Je viens tout juste d’investir dans un couple de chats…
Bon, sinon, je continue à trouver dans Facebook et Twitter des sources d’information, de sourire, de colère, d’interrogation, d’émerveillement… Je suis plus consommatrice qu’émettrice en ce moment, certes, mais ça me convient.
Je vote. Toujours. Même si c’est avec la rage au ventre et pour le moins pire. Parce que je ferais une très mauvaise survivante. Je préfère être dans l’opposition que dans le maquis.
Essentiellement grâce aux recommandations de mes copains / copines lecteurs / lectrices.
Je ne sais pas dans quelle mesure il est inconnu, mais je recommanderais « Lavage à froid uniquement » d’Aurore Py. Un peu polar, un peu chronique sociétale humoristico-désespérée sur notre capacité à « gérer » famille, travail, aspirations profondes, à une époque où l’on attend de tout un chacun qu’il endosse les costumes de superman et de wonderwoman, alors que les super-pouvoirs n’existent pas.
J’ai plus de mal avec la notion « d’auteur à faire découvrir ». Un auteur peut avoir écrit un livre qui va nous enthousiasmer à un moment alors que le suivant va nous décevoir profondément. J’ai tendance à dissocier les livres de leur auteur.
Bon, même si ça ne signifie pas que je lui donne un blanc-seing, et même si c’est très loin d’être un inconnu, je citerais JM Erre, dont les œuvres ont une tendance assez constante à m’arracher des éclats de rire, et dont j’aimerais bien qu’il le soit plus, connu.
Quelle est la racine cubique de 74088 ? (La réponse est 42.)
J’ai déjà arrêté plusieurs fois. Recommencé plusieurs fois. C’est assez imprévisible.
Je pense que Martin Page et Justine Niogret peuvent avoir des choses intéressantes à raconter.
Une question à ajouter : j’adore les coïncidences, j’aimerais bien qu’ils partagent si quelque chose de particulièrement improbable leur est arrivé.
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